Les âmes mortes

Voici une nouvelle fiction, inventée par moi lol

voici l'épilogue :

Epilogue :

« ah ! ah ! ah ! vous êtes à nous, nous allons vous affliger une bonne correction sales gamins ! » Je montai les escaliers à toutes allures, ma petite sœur peinait plus, je devai l’aider mais je n’avais pas le temps. Je savais que tôt ou tard, l’escalier se terminerait. J’escaladai la dernière marche, je vis le rebord de l’immeuble, je m’y précipita. J’étais devant le rebord, je voyais toute la ville. Ma sœur venait à peine d’emerger mais les hommes aussi, ils la priren et lui attachèrent les poignets, je regardai horrifié ce spectacle. Je devai aider ma sœur mais je n’en avais pas le courage. Deux hommes s’approchèrent de moi, je ne sus pas ce qui me prit mais j’escaladai le rebord et je sautai dans le vide. Ce fut une sensation magique, je cru que je volais, je regardai en bas, la rue s’étendait, j’allais tomber entre les voitures, que ce qui m’avait pris, je préférais mourir, non ce n’était pas possible, soudain j’entendis un coup de fusil et un faucon tomba juste devant moi. Une sensation bizarre m’envahit, je fermai les yeux à peine 1 secondes, je les r’ouvrit bientôt et je ne voyais plus pareil, ma vue s’était amélioré, je n’en tenu pas rigueur. Je voulai avoir la sensation de voler avant de mourir, c’est pourquoi j’étendis mes bras, soudain ma descente stopa net, je levai les yeux et vit les regards des hommes hébaïs. Je regardai le sol et vit qu’à la place des mes jambes, j’avais des pattes, je regardai ensuite mes bras, mais non ce n’étaient plus des bras mais des ailes. Décontenancé, je me souvins que je tombai à pic, j’agitait mes grandes ailes et hop ! Je m’envolai. Je ne perdis pas de temps, je disparu dans une rue et me cachait entre deux poubelles. Je sombrai, quand je me révéillai, je n’étais plus entre les deux poubelles, je me levai en catastrophe et vit autour de moi ……………….des barreaux ! Non, j’étais emprisonné comme un vulgaire animal. Je m’approchai d’un barreau et je le mordis avec la ferme intention de sortir quand une voix ricanante me dit : « Le petit faucon voudrais sortir ! il ricana, il devra attendre un peu avant de sortir, tu retourneras dans tes poubelles mais cette fois tu seras………..mort, et oui mon petit ! » Il éclata d’un grand rire sinistre.
Je m’approchai de sa main et lui la griffai viollement, Le bonhomme m’empoigna le coup et m’approcha de sa bouche, son odeur était pestidencielle : « Tu n’as pas interêt à recommencer, vulgaire sac à plume, cette fois là, tu n’auras pas le privilège de mourir en me servant mais plutôt en te faisant écraser ma personne si respectée. »
Il me lacha, à moitié agonisant et il me piqua avec une seringue.
Je sombrai.

coooooooooooooooool !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

(Y a juste...T'es sure que c'est pas plutôt un prologue ? Parce qu'un épilogue, c'est la fin...)

oui lol bon bref !

Chapitre 1 : Fuite

Je me réveillai tout engourdi, je regardai autour de moi, j’étais toujours dans la cage. J’entendis un glapissement, je tournai la tête et vit un rat, étalé mort, je le regardai fixement, attiré par ce petit corps mort quand j’entendis une grognement, tout se brouilla. En 1 secondes, je revus normalement, je lançai un regard derrière pour voir d’où provenait le grognement et je vis un loup, étonamment surpris, je regardai mes pattes et vit que c’étaient ………..celle d’un rat !
Je regardai les barreaux et pendant une seconde d’innatention du loup, je me faufilai entre les barreaux et je courrus jusqu’à un trou où je me planquais bien caché. L’Homme revint et vit le loup, il prit une corne, en fit un lasso et le lança autour du coup du loup. Il amena l’animal sur une table et lui trancha la gorge. Dégouté, je tournai la tête, ce mouvement me permit de voir qu’un piège à rat était positionné dans l’entrée de ma cachette : Comment n’avais-je pas été pris au piège ? Je compris d’un coup, ce truc laissait rentrer les rats mais ne les laisser pas ressortir. Dans mes pensée, je ne vis pas l’étrange sensation qui m’envallissait à nouveau. Soudain je grandis d’un coup, mes pattes se terminaient par des griffes maintenant. Je ne pouvais pas rester là, j’allais éclater. Je sortis d’un coup de ma cachette, en prenant le risque de me faire écrabouiller par la tapette. Quand le scientifique tourna la tête, il n’avait plus devant lui, un rat ou un faucon, mais un énorme loup noir comme celui qu’il venait de tuer. Il ricana : « Tu es un capteur d’âme, ah ah ah, cela fait si longtemps que j’en cherche, viens là mon petit ! » Il regarda autour de lui et vit que je n’étais plus dans ma cage, il ricana et sortit un autre lasso, sans lui laisser le temps d’intervenir, je lui sautai au coup, il m’attrapa le coup et me serra. Je réfléchis et je pensai au faucon, aussitôt je me transformai, je ne perdis pas de temps, je m’envolai et me faufilai dans un trou menant au égout.

la suite la suite !!!
peut-être qu'un jour, moi aussi je mettrais mes fics...Si j'ai pas la flemme lol

met les lol !
Faut que j'écrive la suite maintenant lol !